Au rugby, la « feinte de la moustache » consiste à simuler le fait de faire une passe d’un côté pour induire en erreur les défenseurs et envoyer le ballon de l’autre côté ou continuer sa course.
Les barbes étaient autrefois prescrites. À l’époque victorienne, les médecins prescrivaient la barbe comme moyen de prévenir les maladies. À l’époque, les médecins pensaient qu’une barbe épaisse pouvait agir comme un filtre qui aiderait à piéger les particules nocives avant qu’elles ne pénètrent dans le corps par la bouche.
Le tsar russe, Pierre le Grand, n’aimait pas les barbes, alors il leur a imposé une taxe. Les nobles russes qui ont choisi de porter la barbe sous son règne ont dû payer un prix élevé pour avoir une « licence de port de barbe ».
Dans la Rome antique, le rasage était une cause de célébration. Le premier rasage d’un homme – généralement vers la fin de l’adolescence, au début des années vingt – était considéré comme un droit de passage pour les Romains de l’Antiquité. La première fois qu’un homme se rasait le visage était souvent l’occasion de fêtes élaborées et de célébrations amusantes.
En 1535, Sir Thomas More est placé sur la guillotine et attend sa décapitation. Avant que celle-ci ne commence, il tendit sa longue barbe, la tira de côté et dit : « Elle n’a jamais commis de trahison. »
Pour ajouter du sérieux à tout message royal, un roi attachait trois poils de barbe au sceau de cire.
Alexandre le Grand considérait les barbes comme étant trop dangereuses dans les combats au corps à corps constituant une prise idéale. Alors, il a fait raser tous ces soldats !
En moyenne, un homme à moustache la touche 760 fois par jour.
À Eureka, dans le Nevada (États-Unis), il est illégal pour les hommes à moustache d’embrasser les femmes. L’inverse n’est pas vrai…
Une moustache moyenne d’un mois est capable de retenir 30 ml de liquide ou 10 % d’un verre de bière avant que son contenu ne s’écoule sur le visage de son propriétaire.
Avec un habit et une cravate blanche, tout le monde, même un agent de change, peut faire croire qu’il est civilisé