Le confinement a aussi du bon. Il permet de (re)découvrir des séries cultes notamment Mad Men, Downtown Abbey et Peaky Blinders, trois séries particulièrement léchées à voir les yeux fermés !
New York, années 60. Dans une agence de publicité de Madison Avenue, nous suivons le destin du directeur créatif, Don Drapper, un homme charismatique à la personnalité bien plus tourmentée que ne laisse paraître son image de « bon père de famille ». Ambiance noire, costume tiré à 4 épingles, whisky et clopes au bureau, garden party et femmes, à la maison. Une esthétique particulièrement léchée, plusieurs fois récompensée aux Emmy Awards.
Immersion au nord du Hamsphire, en pleine campagne anglaise dans le château de la famille Crawley, au cœur de sa vie mondaine. Le succès de la série est indéniablement lié à ses costumes d’époque magnifiquement réalisés et qui rappellent les heures de gloires du chic britannique.
Nommé ainsi en raison de la lame de rasoir qu’ils gardent dans la visière de leur casquette, les Peaky Blinders règnent en maître dans un Birmingham de l’entre-deux-guerres. Une histoire inspirée d’un vrai gang des années 1900 dont les membres avaient pour particularité d’être aussi redoutables qu’élégants. Au programme, veste en tweed, redingote en drap de laine, chemise à col rond, montre à gousset, et une coupe de cheveux – le crop de Thomas Shelby – qui cartonne dans les salons de coiffure. Le plus : la bande son avec des invités comme Nick Cave & The Bad Seeds, White Stripe, Radiohead, Artic Monkeys, etc.
