Célibataire, en couple depuis peu ou depuis des années, cette fête vous débecte ? Mais non ! La preuve !
1/ Soyons francs. Les occasions de se réjouir ne sont pas si nombreuses en ce moment alors profitons-en. Chaque prétexte est bon à prendre.
2/ Et puis, fêter la Saint-Valentin permet de soutenir le commerce des fleurs.
3/ C’est l’occasion de se faire beau, de s’habiller, de se parfumer, de mettre son plus beau caleçon et de tailler cette barbe hirsute. Avec le télétravail, depuis quand ne s’est-on pas rasé ? D’autant que 52,7 % des femmes préfèrent embrasser un homme rasé de près alors… (étude Bic Shave Club)
4/ Parce qu’on a quelque chose à se faire pardonner. On oublie toujours son anniversaire…
5/ Pour la voir en dessous rouge, ça porte bonheur !
6/ Pour cuisiner un dîner fin. Bon, c’est vrai, en ce moment, on en prépare souvent des « dîners fins ». Mais pas comme ceux de Monsieur concoctés par des grands chefs.
7/ C’est aussi le moyen d’embrasser sa bouche au rouge à lèvre Allure Velvet (adieu le masque FFP2!) et, peut-être, de s’assurer une nuit torride… On vous a parlé du dernier livre de Maia Mazaurette ?
8/ De faire des cocktails en écoutant ses plus beaux vinyles de chansons d’amour.
Si vous êtes à court d’idées, voici un cocktail « spécial » à déguster sur My Funny Valentine de Sinatra ou mieux Le Temps de l’amour de Françoise Hardi. C’est cliché ? Tant mieux !
4 cl de Cognac VSOP
2,5 cl de liqueur de framboise
3 cl de citron
1,5 cl de cannelle
1 blanc d’œuf (à ajouter après avoir rassemblé tous les ingrédients au shaker)
9 / Car comme Charles d’Orléans qui rapporta d’Angleterre la pratique des petits mots doux le 14 février, vous êtes un romantique. Il n’y a rien à faire. De là à composer un poème comme le roi de France… Attention, c’est périlleux… « Le beau souleil, le jour saint Valentin / Qui apportoit sa chandelle alumee/ N’a pas longtemps entra un bien matin/ Priveement en ma chambre fermee. /Celle clarté qu’il avoit apportee […] »
10 / Parce qu’« il n’y a pas d’amour, il n’y a que des preuves d’amour »… Tiens, voilà que vous citez Pierre Reverdy maintenant.
