First Watch : Omega, la première montre sur la Lune

Nulle reconstitution fidèle du grand pas pour l’humanité sans « Moonwatch ». Ryan Gosling embarque donc une Omega Speedmaster à bord d’Apollo 11 dans « First Man : le premier homme sur la Lune », le film de Damien Chazelle consacré à Neil Armstrong. Moteur. Action !

Ryan Gosling interprète le rôle de l'astronaute Neil Armstrong dans "First Man. Le premier homme sur la lune" de Damien Chazelle.

 

L’astronaute Neil Armstrong, le premier homme sur la lune, le 20 juillet 1969

Pour des millions de téléspectateurs dans le monde, l’une des grandes dates historiques du XXe siècle reste le 20 juillet 1969. Neil Armstrong imprime la première empreinte de pas dans la poussière du sol lunaire. Si ce pied deviendra familier à toute une génération de skieurs, avec la fameuse Moon Boots qui s’en inspire, le poignet de l’astronaute est tout aussi symbolique, sinon plus, pour les amateurs de montres.

La Speedmaster d’Omega est la première montre portée sur le satellite naturel de la Terre. Pour Omega, l’histoire a donc commencé bien plus tôt. La date marquante dans l’histoire de la manufacture horlogère suisse est le 1er mars 1965, avec la certification de sa montre comme « Flight Qualified for All Manned Space Missions », par la NASA. Autrement dit : bonne pour le service dans tout type de missions spatiales. L’administration américaine n’a pas été avare de tests et d’exigences. Seul à les réussir, le chronographe suisse, conçu à l’origine pour les pilotes automobiles – d’où sa graduation tachimétrique.

Un chrono de légende de retour cette semaine sur les écrans. Non plus sur les postes de télévision, mais dans les salles obscures. Pour son nouveau long métrage, le réalisateur franco-américain Damien Chazelle conserve son acteur fétiche de La La Land. Cette fois, Ryan Gosling endosse la combinaison de Neil Armstrong. Il aurait pu, comme l’équipage de la véritable mission Apollo 11 en 1969, chanter Fly Me To The Moon de Frank Sinatra. L’action de ce biopic, se concentre plutôt sur l’action et la préparation de cette aventure technique, scientifique et humaine hors norme.

Les montres sont évidemment partie prenante de la mission. Le chronographe Speedmaster ST 105.003 est au poignet de Ryan Gosling dans la préparation et les entraînements. Pour la petite histoire, les passionnés noteront que c’est aussi le modèle utilisé par Ed White, lors de la première sortie américaine dans l’espace le 3 juin 1965. Pour Apollo 11, c’était une Speedmaster ST 105.012, avec le long bracelet velcros pour être portée par dessus la combinaison. Elle est naturellement l’une des stars du film.

Le chronographe Omega Speedmaster ST 105.012 au poignet de Ryan Gosling dans le film.

Une autre Omega tient un second rôle remarqué : une montre de poche à rattrapante des années 60. Comme pour les Jeux Olympiques, le chronométrage avait toute son importance aux yeux des ingénieurs de la NASA pour la réussite de la mission.

Une question demeure : Neil Armstrong portait-il une Omega au quotidien avant sa mission lunaire ? L’œil avisé de l’amateur repèrera au poignet de Ryan Gosling  le modèle CK 2605 de 1954.

Pour la projection parisienne en avant-première du film, ces détails qui n’ont bien sûr pas échappés aux invités d’Omega, notamment les spationautes Claudie Haigneraie, ancienne ministre et première française dans l’espace, Michel Tognini et Jean-Pierre Haigneré. Jean-Pascal Perret, vice-président d’Omega en charge de la communication et des relations publiques, pouvait aussi rappeler que les performances et la précision de la Speedmaster ont permis de sauver l’équipage d’Apollo 13. Mais c’est une autre histoire et un autre film.

 

L’empreinte du premier pas de l’homme sur la lune, le 20 juillet 1969

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