Le top départ des Jeux olympiques d’hiver de Pyeonchang, en Corée du Sud, est donné aujourd’hui à midi (heure de Paris). Omega reste le chronométreur officiel des compétitions et présente, pour l’occasion, une édition spéciale de sa Seamaster Planet Océan.
Depuis les jeux de Los Angeles en 1932, Omega a été 27 fois le chronométreur des JO. Plusieurs innovations significatives ont été introduites à l’occasion de ces compétitions au retentissement international, comme, par exemple, lors des Jeux Olympiques d’hiver de 1964 à Innsbruck, en Autriche, où Omega met en service, grandeur nature et au cœur de l’événement, son système Omegascope, un affichage du temps réel au cours des retransmissions sportives à la télévision, par l’incrustation de chiffres lumineux en bas de l’écran. Après plusieurs interruptions, l’horloger a repris le fil de cette histoire à Turin, en 2006, prenant le relais de Swatch.
Chaque rendez-vous olympique est une occasion de proposer une édition spéciale dans l’une des collections de l’horloger. Pour Pyeonchang, ce sera, notamment, une Seamaster Professional Planet Océan 600 M aux couleurs de l’événement et du drapeau sud-coréen. Cette montre de 43,5 mm est équipée d’un cadran en céramique bleue polie cerclé d’une lunette unidirectionnelle associant la céramique au caoutchouc rouge sur ses 15 premières minutes. Elle est équipée d’un bracelet en caoutchouc bleu et rouge, mais elle est aussi livrée avec un bracelet en acier.
« Malgré tout ce qui peut se passer, l’esprit des Jeux consiste toujours à se surpasser par le sport. Cette valeur est source d’inspiration et nous la partageons », a souligné Raynald Aeschlimann, président et CEO de la maison horlogère, en balayant d’un revers de main les polémiques actuelles ayant un peu affaiblies l’image des JO, notamment les accusations de dopage ou de corruption, et en rappelant l’importance de ce partenariat pour Omega, avec « la possibilité de continuer d’investir dans la recherche et développement, toujours dans l’idée de nous mettre au service des athlètes ». Après PyeonChang (2018), Tokyo (2020) et Pékin (2022), l’horloger suisse jouera peut-être à domicile si la candidature de Sion est retenue pour 2026. Affaire à suivre.